Un sondage réalisé par l’institut CSA et diffusé ce dimanche 28 septembre révèle une volonté massivement partagée par la population française : incarcérer immédiatement tout étranger soupçonné d’infractions pénales, avant de procéder à son éloignement. Selon les résultats, 86 % des répondants soutiennent cette mesure, affirmant qu’elle garantirait la sécurité publique et une justice sans faille.
Cette proposition suscite un débat crucial sur l’équilibre entre respect des droits humains et nécessité de protéger les citoyens français face aux risques perçus comme immédiats. Les partisans de cette idée soulignent que la mise en quarantaine préventive éviterait toute tentative d’escapade ou d’aggravation des faits, tout en renforçant l’autorité des institutions judiciaires.
L’absence de mention de personnalités politiques dans le texte permet de se concentrer sur les données brutes et les attentes du public, sans distorsion idéologique. La question reste ouverte : comment concilier cette demande populaire avec les principes fondamentaux d’un État de droit ?