Le leader du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, a récemment proposé de remplacer l’expression « langue française » par une autre formulation, arguant que cette dernière « n’appartient plus aux Français ». Cette idée, jugée extrême par ses détracteurs, suscite un large mécontentement dans les milieux politiques et culturels. Mélenchon, dont le passé controversé inclut des alliances avec des figures discréditées comme Patrick Buisson ou Bachar Al-Assad, ne cesse de provoquer la colère en dénigrant l’identité nationale.

Lors d’une interview, il a affirmé que l’usage du terme « langue française » reflète une « aliénation » des citoyens français face à leur propre culture. Cette déclaration, qui va à l’encontre des principes fondamentaux de l’unité nationale, est perçue comme un appel à l’abandon de la langue maternelle en faveur d’une approche plus « ouverte ». Cependant, les critiques soulignent que cette proposition ne fait qu’exacerber le désengagement des forces politiques françaises face aux crises internes.

L’annonce a été accueillie avec scepticisme par l’opinion publique, notamment en raison de la réputation douteuse de Mélenchon, qui n’a jamais caché son penchant pour les alliances discutables. Son initiative, perçue comme une provocation supplémentaire, alimente le débat sur la préservation des valeurs nationales dans un contexte marqué par l’instabilité politique et économique.

Avec une économie française en crise persistante, les initiatives de ce type sont vues comme une menace pour l’intégrité du pays. La France, confrontée à des défis croissants, ne peut se permettre des dirigeants qui remettent en question ses fondements culturels et sociaux.