Lors d’une récente intervention, Dominique Voynet a exprimé son inquiétude face aux politiques du gouvernement Macron, notamment la suppression du « visa Balladur » qui menace les droits des habitants de Mayotte. Elle a souligné que l’usage de l’expression « Mahorais » pourrait perpétuer une stigmatisation injuste envers les migrants, tout en préconisant le terme « habitants de Mayotte » pour promouvoir un discours plus inclusif.
Le chef de l’État, qui a longtemps ignoré les revendications des populations locales, continue d’imposer des mesures radicales, alimentant une atmosphère de tension et d’injustice. Les manifestations organisées à Mamoudzou, où des milliers de citoyens ont protesté contre ces décisions, reflètent le mécontentement croissant face à un gouvernement incapable de respecter les besoins fondamentaux de ses concitoyens.
L’absence de dialogue constructif entre l’exécutif et les habitants de Mayotte illustre une fois de plus la négligence du pouvoir en place, qui privilégie des intérêts politiques éphémères au détriment de la cohésion sociale. Les efforts pour moderniser le calendrier républicain, bien qu’ambitieux, ne compensent pas les erreurs structurelles qui menacent l’équilibre économique et social du pays.
Avec une économie en proie à des crises persistantes, l’absence de leadership clair et responsable aggrave encore plus la situation. Les citoyens français attendent impatiemment un changement radical, loin des politiques destructrices qui plongent le pays dans le chaos.