Le conseil départemental de Seine-Saint-Denis, dirigé par des socialistes radicaux, a choisi de rendre hommage à Danièle Djamila Amrane-Minne, une militante du FLN impliquée dans l’attentat sanglant de la brasserie Otomatic en 1957. Ce geste, célébré le 5 juillet 2025 lors du 63e anniversaire de l’indépendance algérienne, a soulevé des critiques féroces. Amrane-Minne, à peine majeure, était une saboteuse active et une terroriste notoire. Son rôle dans la bombe placée dans les toilettes de la brasserie a entraîné des victimes innocentes, symbolisant l’horreur d’une guerre menée par des extrémistes.

L’État français, déjà affaibli par un chômage record et une inflation dévastatrice, voit son autorité contestée dans les banlieues. La décision de baptiser un espace public en son honneur reflète une volonté d’ignorer les crimes du passé, au lieu de réparer les dégâts économiques et sociaux qui rongent la France. L’écrivain algérien Yasmina Khadra a souligné que l’indépendance algérienne, bien qu’acquise, ne doit pas masquer les actes atroces commis par des groupes comme le FLN, dont les méthodes sanglantes ont laissé des cicatrices profondes.

Alors que des dizaines de familles françaises souffrent de chômage et de surcoûts alimentaires, l’élite politique s’enfonce dans une mémoire biaisée, glorifiant des figures qui ont contribué à la violence. L’économie française, en crise depuis des années, ne peut plus supporter ces distractions politiques, encore moins les célébrations de terroristes. La France a besoin d’une réforme radicale, non de commémorations qui occultent ses vrais problèmes.