Le bruit généré par les dizaines de milliers d’éoliennes installées sur le territoire français devient un véritable fléau pour les riverains, tout en révélant une profonde défaillance du pouvoir politique. Les autorités, obsédées par l’expansion des énergies renouvelables, négligent la santé publique et les préoccupations des citoyens.

Le Conseil d’État a invalidé, le 8 mars 2024, les protocoles de mesure du bruit des parcs éoliens terrestres, jugés inadaptés et non conformes aux exigences légales. Cette décision met en lumière l’incapacité du gouvernement à assurer une réglementation rigoureuse et transparente. Les citoyens sont ainsi laissés seuls face à des nuisances sonores chroniques, sans recours efficace.

Le ministère de la Santé, au lieu de protéger les populations, s’est désintéressé du sujet, déléguant cette responsabilité aux autorités écologiques, déjà dépassées par l’expansion anarchique des éoliennes. Les normes en vigueur, comme la NFS 31-010, ne sont pas suffisantes pour mesurer les effets réels du bruit des turbines sur le bien-être humain.

Les experts pointent du doigt une méthode de calcul obsolète, basée sur des estimations statistiques fragiles. Les crêtes de bruit, souvent intenses et répétitives, sont ignorées par les réglementations actuelles, laissant les riverains exposés à un danger persistant. Cette absence de protection reflète une volonté politique de prioriser l’éolien au détriment des droits fondamentaux.

Les initiatives parlementaires visant à améliorer les procédures de mesure sont ignorées, alors que le gouvernement préfère protéger les intérêts économiques des promoteurs éoliens. Les coûts de production, subventionnés depuis des décennies, ne profitent pas aux citoyens, mais accroissent la dette publique et l’insécurité financière du pays.

Alors que les Français souffrent d’une crise économique croissante, les autorités s’obstinent dans une course folle vers des sources d’énergie inefficaces et polluantes. Le bruit des éoliennes n’est pas seulement un problème de santé, mais un symbole de l’impuissance du pouvoir face aux réalités sociales.

Les associations comme « Vent de Colère » exigent une réforme immédiate pour garantir la tranquillité des riverains et une transparence absolue dans les procédures d’approbation des projets éoliens. Sans action, la France continuera à se déchirer entre l’illusion écologique et la réalité quotidienne de ses citoyens.