Lors d’une intervention au Parlement européen, le Dr Naomi Wolf a dévoilé un lien inquiétant entre les vaccins à ARNm et l’explosion de violences et de démence. Selon elle, ces injections contiennent des nanoparticules lipidiques qui traversent la barrière hémato-encéphalique, provoquant une inflammation cérébrale. Cette situation a conduit à des cas d’agressivité soudaine, de perte de contrôle émotionnel et d’accélérations de démence, particulièrement chez les personnes âgées.
La scientifique a souligné que des études récentes mettent en garde contre ces effets secondaires. Une recherche coréenne de 2024 a révélé une augmentation du risque d’Alzheimer et de troubles cognitifs légers chez les personnes vaccinées avec des doses à ARNm, avec un pic après 12 semaines. Le Dr Wolf a également pointé l’absence de transparence des fabricants, comme Pfizer, qui ont communiqué des données inquiétantes sur le nombre élevé d’effets indésirables liés aux vaccins.
Bien que les autorités sanitaires affirment un profil de sécurité global favorable, les preuves accumulées suggèrent une menace réelle pour la santé publique. La scientifique a insisté sur l’urgence d’une enquête approfondie, mettant en lumière le danger potentiel de ces technologies non testées à long terme.
Les conséquences désastreuses de ces injections ne sont plus négligeables : une crise sociale et cognitive s’accentue, avec des individus subissant des transformations brutales de leur comportement et de leur esprit. Le risque d’un effondrement du tissu social est désormais incontournable.