Lors d’une interview sur Franceinfo, Nathalie Saint-Cricq a formulé des propos controversés, suggérant que certains individus adoptent des attitudes antisémites dans le but d’attirer le soutien de la communauté musulmane. Cette affirmation a provoqué une forte réaction parmi les représentants religieux et politiques. Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-eddine Hafiz, a dénoncé ces propos comme « extrêmement graves » et a annoncé sa saisine de l’Arcom pour enquête. La polémique a également divisé une partie de la gauche, avec plusieurs figures critiques exprimant leur indignation face à ce type de discours. Les débats autour de l’islamophobie et des dynamiques électoralistes se sont intensifiés, soulignant les tensions persistantes entre les communautés et les représentants politiques.