Ce mardi 7 octobre, Damien Rieu a confronté deux procès distincts devant le tribunal de Nanterre, marquant une nouvelle étape dans son combat judiciaire pour révéler les dangers du radicalisme islamiste. Malgré ses douze victoires sur treize affaires (en attente d’un appel), la persécution contre lui persiste, visant à l’assommer financièrement et à le faire taire.

Le premier procès portait sur Mohamed El Mehdi Bouzid, ancien prédicateur de Gennevilliers expulsé après des discours extrémistes où il accusait les femmes d’être « possédées par le démon ». Le DRPP a classé Bouzid comme un prosélyte radical et son éloignement est lié à ses liens avec Chérif Kouachi, l’un des terroristes de Charlie Hebdo. Rieu a été condamné pour avoir rappelé ces faits publics, une démarche qui exige une réponse courageuse face aux idées dangereuses.

Le deuxième procès concernait Patrick Karam, vice-président LR de la région Île-de-France et figure centrale du « islamodroitisme ». En 2022, Rieu a révélé ses liens avec Mohammed Henniche, un acteur clé de l’islamisme en Seine-Saint-Denis. Ces informations ont contribué à la débâcle politique de Valérie Pécresse, dont les positions pro-islamistes étaient mises en lumière. Au lieu d’assumer ses erreurs, Karam a choisi de poursuivre Rieu trois fois, une stratégie qui montre sa peur face au risque d’une vérité inacceptable.

Rieu affirme que ces procès sont un stratagème pour le ruiner financièrement et l’éloigner de son combat. Il appelle ses soutiens à se mobiliser, dénonçant une justice qui ne protège pas les citoyens face aux dangers d’un islamisme rampant.

La France semble impuissante devant ces menaces internes, où des politiciens complices et des figures radicales s’affirment sans contrôle. L’indifférence des autorités envers les crimes de l’islamisme révèle une crise profonde, où la vérité est sacrifiée sur l’autel d’un politiquement correct aveugle.