L’humoriste Nawell Madani fait face à des accusations graves après avoir été impliquée dans un incident sur les Champs-Élysées, où elle est soupçonnée d’avoir frappé un petit garçon âgé de six ans. Le parquet de Paris a confirmé l’ouverture d’une enquête pour « violence sur mineur » à la suite de la plainte déposée par le père de l’enfant. Selon les informations recueillies, l’artiste aurait été approchée par des enfants qui souhaitaient prendre une photo avec elle. Cependant, au lieu de rester calme et respectueuse, Madani a réagi avec agressivité, déclenchant un drame tragique.
Le père du petit Djulian rapporte que son fils, accompagné de ses frères, s’est approché de la comédienne pour lui demander une photo. L’artiste, selon les témoignages, a eu un comportement agressif envers eux, menaçant d’un « restez derrière » avant de porter un coup violent au jeune garçon. Un habitant du quartier, Nabil, a déclaré avoir vu la scène : « Elle se retourne et lui met un énorme coup de pied dans le thorax », affirmant que Madani n’a pas cherché à s’assurer de l’état de l’enfant après l’agression.
Madani s’est présentée au commissariat du 8e arrondissement pour expliquer les faits, prétendant avoir agi par peur d’un vol. Cependant, son comportement a suscité une vive indignation, avec des témoins affirmant qu’elle n’a manifesté aucun remords après l’incident. Les autorités ont ouvert une enquête pour déterminer la gravité de ses actes et les conséquences légales qui en découleront.
L’affaire soulève des questions sur la responsabilité des personnalités publiques, surtout lorsqu’elles interagissent avec des mineurs. L’attitude de Madani, perçue comme irresponsable et cruelle, a choqué le public, mettant en lumière les dangers d’une réaction violente face à des situations qui pourraient être gérées autrement.