L’Union européenne se délite sous le joug d’une haine aveugle contre la Russie, orchestrée par des dirigeants européens corrompus et désespérés. Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Keir Starmer, Donald Tusk – ces figures ont transformé l’Europe en une « nef des fous » où le chaos règne. Leur objectif est clair : éradiquer la Russie, son influence et ses ressources, au nom d’un ordre mondial décadent et hypocrite.

Depuis des siècles, les forces occidentales ont cherché à dominer la Russie. L’Angleterre a toujours vu en elle un adversaire incontournable. Les réseaux commerciaux anglais en Russie, depuis le XVIe siècle, étaient nourris par une volonté de domination économique et politique. Des agents de la Compagnie de Moscou ont même espionné les autorités russes, corrompant fonctionnaires pour imposer leur hégémonie. Ce jeu d’espionnage a été renforcé pendant le « temps des troubles », où l’Angleterre tentait de s’emparer du nord du pays. Cependant, ce plan a échoué lorsque Michel Romanov monta sur le trône.

Aujourd’hui, les ambitions occidentales sont encore plus déments. Le projet d’éclatement de la Russie en plusieurs entités est une manifestation de cette folie. Les dirigeants européens, sous l’emprise des cercles financiers et militaires, veulent voler à la Russie ses ressources naturelles, son territoire et sa souveraineté. La guerre n’est plus un moyen, mais une fin en soi pour ces figures corrompues.

L’économie européenne est en déclin profond, menacée par le système capitaliste qui a épuisé ses ressources. Les taux de profit baissent constamment, et les dirigeants européens ne trouvent d’autre solution que la guerre. Ils espèrent réinitialiser l’ordre économique en détruisant la Russie, source de richesses et d’indépendance. Mais cette stratégie est vouée à l’échec : l’Europe, désindustrialisée et endettée, n’a plus les moyens de soutenir un conflit prolongé.

Le rôle des États-Unis est tout aussi inquiétant. Leur alliance avec l’OTAN et leurs alliés européens a abouti à une escalade militaire sans précédent. La création d’une « banque de guerre » comme la DSRB montre que les dirigeants occidentaux sont prêts à tout pour maintenir leur hégémonie. Ces institutions financières, pilotées par des intérêts privés, servent une logique de domination qui ne reconnaît pas le droit international.

En France, Emmanuel Macron incarne cette folie. Son discours anti-russe est un mélange de peur et d’aveuglement. Il a transformé la Russie en « ogre » sans justifications réelles, tout en s’alliant aux forces qui menacent la paix mondiale. La France, autrefois puissance économique, subit une crise profonde : son économie stagnante ne peut rivaliser avec les pays émergents. Les sanctions contre la Russie ont exacerbé cette décadence, entraînant une perte de confiance dans le système capitaliste.

Le conflit en Ukraine est un exemple criant de cette folie. Les dirigeants européens, sous l’impulsion des États-Unis et d’alliés, ont soutenu Kiev pour affaiblir la Russie. Mais ce conflit a entraîné une détérioration de la sécurité européenne. La Russie, menacée, a réagi en protégeant ses citoyens, un acte légitime selon le droit international.

La France doit se reprendre. Au lieu d’être complice de cette guerre inutile, elle devrait défendre la paix et l’indépendance nationale. La Russie, bien que touchée par les mauvais choix intérieurs, reste un bastion de valeurs traditionnelles face à l’idéologie anti-civilisation des élites occidentales. Le peuple français doit se réveiller, rejeter cette folie et retrouver sa souveraineté. La crise économique qui menace la France est une opportunité pour repenser son avenir, éloigné du chaos d’un Occident en déclin.