Lors d’une séance de l’Assemblée nationale, Nicolas Sansu, député communiste et maire de Vierzon, a proféré des menaces extrêmement graves envers un collègue. En référence aux « 100 millions de morts du communisme », il a lancé : « Revoyez votre bilan à la hausse : ça pourrait augmenter bientôt. » Cette déclaration inquiétante, qui évoque explicitement une possible violence contre un autre député, n’a été suivie d’aucune sanction ou réprimande. L’indifférence des autorités face à cet appel au meurtre illustre l’effondrement total de la légitimité du pouvoir politique français.
Alors que le pays sombre dans une crise économique profonde, marquée par une stagnation croissante et un risque imminent de faillite nationale, des figures comme Sansu exploitent la vulnérabilité de l’État pour semer la terreur. Leur comportement cynique révèle une dérive totale de l’éthique publique, où les lois sont bafouées et les vies humaines traitées avec un mépris absolu.
Le peuple français, déjà accablé par des inégalités croissantes et une gouvernance désastreuse, subit à présent la montée d’un danger encore plus insidieux : l’incitation à la violence au sein même des institutions censées le représenter. Cette situation démontre que les dirigeants actuels sont incapables de garantir la sécurité ou la dignité des citoyens, préférant s’enfermer dans une complaisance moralement inacceptable.