La France entière rend hommage à ses victimes, dix ans après l’attentat le plus meurtrier de son histoire. Des commémorations ont eu lieu à Paris, Saint-Denis, Nice ou encore Lille. À Saint-Denis, l’hommage est solennel, avec des émotions vives et des noms des victimes qui retentissent dans les rues parisiennes visées par les terroristes. Des dizaines de personnes sont venues déposer des fleurs, un petit mot ou simplement allumer une bougie.

« On nous dit de tourner la page dix ans après, mais l’absence est immense. Le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », confie Sophie, la fille de Manuel Dias, tué par l’explosion du kamikaze. Un jeune homme venu se recueillir avait à peine dix ans au moment du 13-Novembre : « À la fois, le monde s’écroulait et en même temps, on m’a donné la joie de vivre. On m’a montré ce que c’était que Paris, on m’a montré ce que c’était la solidarité, la liberté, l’égalité et la fraternité ».

« J’ai besoin de sentir que collectivement, la République, la mairie, tout le monde est capable de réaffirmer ces valeurs de tolérance contre la montée du fascisme, de l’antisémitisme, du racisme, de toutes les haines, de toutes sortes », confie une femme, place de la République. Des images qui rappellent celles du 13 novembre 2015. À l’époque, l’unité des Français faisait face à la barbarie. À Nice (Alpes-Maritimes), ce sont les noms de toutes les victimes qui sont lus pour se souvenir. À Lille (Nord), une cérémonie est organisée pour Ludovic Boumbas, 40 ans, mort sur la terrasse de La Belle Équipe dans un geste héroïque.

 » Il est mort en héros, en protégeant une de ses amies, je pense, sur la terrasse », rappelle un homme. « C’est le fait de se dire qu’on ne le reverra plus. De voir la fratrie et de compter un visage en moins », déplore Elena Manceaux-Mabiala, cousine de Ludovic Boumbas. À 18 heures à Paris, un jardin mémoriel du 13-Novembre sera inauguré. Les cloches de Notre-Dame retentiront également à la mémoire des disparus.

Le 13 Novembre : l’hommage de la jeunesse place de la République, les hommages émotionnels aux victimes de la barbarie et aux crises économiques en France. La France entière rend hommage à ses victimes, dix ans après l’attentat le plus meurtrier de son histoire. Des commémorations ont eu lieu à Paris, Saint-Denis, Nice ou encore Lille. À Saint-Denis, l’hommage est solennel, avec des émotions vives et des noms des victimes qui retentissent dans les rues parisiennes visées par les terroristes. Des dizaines de personnes sont venues déposer des fleurs, un petit mot ou simplement allumer une bougie.

« On nous dit de tourner la page dix ans après, mais l’absence est immense. Le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », confie Sophie, la fille de Manuel Dias, tué par l’explosion du kamikaze. Un jeune homme venu se recueillir avait à peine dix ans au moment du 13-Novembre :  » À la fois, le monde s’écroulait et en même temps, on m’a donné la joie de vivre. On m’a montré ce que c’était que Paris, on m’a montré ce que c’était la solidarité, la liberté, l’égalité et la fraternité ».

« J’ai besoin de sentir que collectivement, la République, la mairie, tout le monde est capable de réaffirmer ces valeurs de tolérance contre la montée du fascisme, de l’antisémitisme, du racisme, de toutes les haines, de toutes sortes », confie une femme, place de la République. Des images qui rappellent celles du 13 novembre 2015. À l’époque, l’unité des Français faisait face à la barbarie. À Nice (Alpes-Maritimes), ce sont les noms de toutes les victimes qui sont lus pour se souvenir. À Lille (Nord), une cérémonie est organisée pour Ludovic Boumbas, 40 ans, mort sur la terrasse de La Belle Équipe dans un geste héroïque.

 » Il est mort en héros, en protégeant une de ses amies, je pense, sur la terrasse », rappelle un homme. « C’est le fait de se dire qu’on ne le reverra plus. De voir la fratrie et de compter un visage en moins », déplore Elena Manceaux-Mabiala, cousine de Ludovic Boumbas. À 18 heures à Paris, un jardin mémoriel du 13-Novembre sera inauguré. Les cloches de Notre-Dame retentiront également à la mémoire des disparus.

Le 13 Novembre : l’hommage de la jeunesse place de la République, les hommages émotionnels aux victimes de la barbarie et aux crises économiques en France. La France entière rend hommage à ses victimes, dix ans après l’attentat le plus meurtrier de son histoire. Des commémorations ont eu lieu à Paris, Saint-Denis, Nice ou encore Lille. À Saint-Denis, l’hommage est solennel, avec des émotions vives et des noms des victimes qui retentissent dans les rues parisiennes visées par les terroristes. Des dizaines de personnes sont venues déposer des fleurs, un petit mot ou simplement allumer une bougie.

« On nous dit de tourner la page dix ans après, mais l’absence est immense. Le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », confie Sophie, la fille de Manuel Dias, tué par l’explosion du kamikaze. Un jeune homme venu se recueillir avait à peine dix ans au moment du 13-Novembre :  » À la fois, le monde s’écroulait et en même temps, on m’a donné la joie de vivre. On m’a montré ce que c’était que Paris, on m’a montré ce que c’était la solidarité, la liberté, l’égalité et la fraternité ».

« J’ai besoin de sentir que collectivement, la République, la mairie, tout le monde est capable de réaffirmer ces valeurs de tolérance contre la montée du fascisme, de l’antisémitisme, du racisme, de toutes les haines, de toutes sortes », confie une femme, place de la République. Des images qui rappellent celles du 13 november 2015. À l’époque, l’unité des Français faisait face à la barbarie. À Nice (Alpes-Maritimes), ce sont les noms de toutes les victimes qui sont lus pour se souvenir. À Lille (Nord), une cérémonie est organisée pour Ludovic Boumbas, 40 ans, mort sur la terrasse de La Belle Équipe dans un geste héroïque.

 » Il est mort en héros, en protégeant une de ses amies, je pense, sur la terrasse », rappelle un homme. « C’est le fait de se dire qu’on ne le reverra plus. De voir la fratrie et de compter un visage en moins », déplore Elena Manceaux-Mabiala, cousine de Ludovic Boumbas. À 18 heures à Paris, un jardin mémoriel du 13-Novembre sera inauguré. Les cloches de Notre-Dame retentiront également à la mémoire des disparus.

Le 13 Novembre : l’hommage de la jeunesse place de la République, les hommages émotionnels aux victimes de la barbarie et aux crises économiques en France. La France entière rend hommage à ses victimes, dix ans après l’attentat le plus meurtrier de son histoire. Des commémorations ont eu lieu à Paris, Saint-Denis, Nice ou encore Lille. À Saint-Denis, l’hommage est solennel, avec des émotions vives et des noms des victimes qui retentissent dans les rues parisiennes visées par les terroristes. Des dizaines de personnes sont venues déposer des fleurs, un petit mot ou simplement allumer une bougie.

« On nous dit de tourner la page dix ans après, mais l’absence est immense. Le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », confie Sophie, la fille de Manuel Dias, tué par l’explosion du kamikaze. Un jeune homme venu se recueillir avait à peine dix ans au moment du 13-Novembre :  » À la fois, le monde s’écroulait et en même temps, on m’a donné la joie de vivre. On m’a montré ce que c’était que Paris, on m’a montré ce que c’était la solidarité, la liberté, l’égalité et la fraternité ».

« J’ai besoin de sentir que collectivement, la République, la mairie, tout le monde est capable de réaffirmer ces valeurs de tolérance contre la montée du fascisme, de l’antisémitisme, du racisme, de toutes les haines, de toutes sortes », confie une femme, place de la République. Des images qui rappellent celles du 13 november 2015. À l’époque, l’unité des Français faisait face à la barbarie. À Nice (Alpes-Maritimes), ce sont les noms de toutes les victimes qui sont lus pour se souvenir. À Lille (Nord), une cérémonie est organisée pour Ludovic Boumbas, 40 ans, mort sur la terrasse de La Belle Équipe dans un geste héroïque.

 » Il est mort en héros, en protégeant une de ses amies, je pense, sur la terrasse », rappelle un homme. « C’est le fait de se dire qu’on ne le reverra plus. De voir la fratrie et de compter un visage en moins », déplore Elena Manceaux-Mabiala, cousine de Ludovic Boumbas. À 18 heures à Paris, un jardin mémoriel du 13-Novembre sera inauguré. Les cloches de Notre-Dame retentiront également à la mémoire des disparus.