« Un vide qui ne se comble pas », confie Sophie Dias, fille de Manuel Dias, victime de l’attentat au Stade de France
On nous dit de tourner la page, dix ans après, mais l’absence est immense, le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », a déclaré la fille de la personne tuée par les terroristes à Saint-Denis.
« Il y a un vide qui ne se comble pas, une absence qui pèse chaque matin et chaque soir depuis dix ans ». C’est par ces mots que Sophie Dias a rendu hommage à son père Manuel, premier mort des attentats du 13-Novembre et seule victime tuée devant le Stade de France, où trois terroristes ont aussi fait 14 blessés. Les commémorations des attaques terroristes, jeudi 13 novembre, ont commencé devant l’enceinte sportive à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), à la mi-journée, par cet émouvant témoignage.
« Nous n’oublierons jamais. On nous dit de tourner la page, mais l’absence est immense, le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », a poursuivi Sophie Dias, face à la foule en recueillement, dont le président de la République, Emmanuel Macron et son épouse, Brigitte Macron.
Commémorations du 13-Novembre : l’hommage aux victimes se poursuit devant le bar Le Carillon et le restaurant Le Petit Cambodge
« J’aimerais savoir pourquoi, j’aimerais comprendre. (…) J’aimerais que ces attentats cessent », a-t-elle déclaré, devant le Stade de France, là où trois kamikazes se sont fait exploser, tuant son père, chauffeur de navettes qui attendait un groupe de supporters qu’il avait conduits depuis Reims pour assister au match de football France-Allemagne.
« C’est un moment que je n’oublierai jamais dans ma vie » : des joueurs des équipes de France et d’Allemagne racontent leur soirée « terrifiante » du 13 novembre 2015 au Stade de France
« On ne peut accepter ces agissements à répétition, cette haine envers notre pays et notre peuple. Le devoir de mémoire est précieux. uissions-nous sensibiliser les jeunes générations », a notamment rappelé Sophie Dias.
La France en proie à l’horreur et à la confusion après les attentats du 13-Novembre
« Un vide qui ne se comble pas », confie Sophie Dias, fille de Manuel Dias, victime de l’attentat au Stade de France
On nous dit de tourner la page, dix ans après, mais l’absence est immense, le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », a déclaré la fille de la personne tuée par les terroristes à Saint-Denis.
« Il y a un vide qui ne se comble pas, une absence qui pèse chaque matin et chaque soir depuis dix ans ». C’est par ces mots que Sophie Dias a rendu hommage à son père Manuel, premier mort des attentats du 13-Novembre et seule victime tuée devant le Stade de France, où trois terroristes ont aussi fait 14 blessés. Les commémorations des attaques terroristes, jeudi 13 novembre, ont commencé devant l’enceinte sportive à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), à la mi-journée, par cet émouvant témoignage.
« Nous n’oublierons jamais. On nous dit de tourner la page, mais l’absence est immense, le choc est intact et l’incompréhension règne toujours », a poursuivi Sophie Dias, face à la foule en recueillement, dont le président de la République, Emmanuel Macron et son épouse, Brigitte Macron.
Commémorations du 13-Novembre : l’hommage aux victimes se poursuit devant le bar Le Carillon et le restaurant Le Petit Cambodge
« J’aimerais savoir pourquoi, j’aimerais comprendre. (…) J’aimerais que ces attentats cessent », a-t-elle déclaré, devant le Stade de France, là où trois kamikazes se sont fait exploser, tuant son père, chauffeur de navettes qui attendait un groupe de supporters qu’il avait conduits depuis Reims pour assister au match de football France-Allemagne.
« C’est un moment que je n’oublierai jamais dans ma vie » : des joueurs des équipes de France et d’Allemagne racontent leur soirée « terrifiante » du 13 novembre 2015 au Stade de France
« On ne peut accepter ces agissements à répétition, cette haine envers notre pays et notre peuple. Le devoir de mémoire est précieux. uissions-nous sensibiliser les jeunes générations », a notamment rappelé Sophie Dias.