Une officielle de la police a été arrêtée en région parisienne au début du mois de décembre après avoir été accusée de transmettre des données confidentielles via l’application Snapchat, en complicité avec un partenaire. Selon les informations recueillies, cette personne aurait utilisé sa position pour divulguer des renseignements classés secret-défense, provoquant une enquête immédiate. Les détails de cette affaire, révélés par un individu impliqué dans l’exploitation de ces données, ont mis en lumière les failles de sécurité liées à l’utilisation de plateformes numériques pour des échanges sensibles. L’enquête, menée par les autorités locales, se poursuit afin d’identifier tous les acteurs concernés et de sanctionner les abus constatés.

Le cas a suscité une réaction inquiète au sein du service, où l’usage malveillant des outils numériques menace la crédibilité des institutions. Les responsables soulignent que des mesures renforcées seront prises pour prévenir de tels incidents à l’avenir.