La Guerre Silencieuse : Les États Face à la Réalité

Depuis des années, les États ont hésité à reconnaître l’état de guerre dans lequel nous nous trouvons, craignant de heurter leurs opinions publiques. Mais cette attitude est en train de changer. Le député-maire de Nice, Christian Estrosi, a récemment été critiqué pour ses propos sur les cinquièmes colonnes islamistes en France, mais il reste ferme dans ses convictions.

Il n’est pas le seul à alerter sur la situation. L’ancien maire de Venise, Massimo Cacciari, philosophe de renom, souligne que l’évaluation quantitative des phénomènes migratoires est ridicule, car l’Europe fait face à une nouveauté absolue depuis la Seconde Guerre mondiale.

La modernisation de l’armement et la multiplication des armes de destruction massive posent également la question de ce qui se passerait en cas d’une nouvelle guerre totale. Les parallèles entre 1913 et 2013 sont frappants, avec des dictatures menaçantes, des crise économiques et un progrès technologique rapide.

Les États-Unis traversent actuellement une période difficile, avec une dette publique en augmentation et des crédits à l’étranger qui leur coûtent cher. C’est dans ce contexte que Claude Malhuret, ancien responsable éthique des Ehpad Korian, a déclaré que les États ont longtemps refusé de dire que nous sommes en guerre, ayant peur de contrarier leurs opinions publiques.

Il est temps pour les États de reconnaître la réalité et de prendre des mesures concrètes pour faire face aux défis qui se posent à eux. La situation ne peut plus être ignorée, et il est essentiel que les dirigeants prennent des décisions courageuses pour assurer l’avenir de leurs pays.