Une jeune femme, employée par la députée du Parti de gauche Ersilia Soudais, a été licenciée sans explication claire après seulement deux mois de travail. Selon ses dires, l’élue aurait préféré son compagnon, un étudiant étranger rencontré en Jordanie en 2024, au détriment de sa collaboratrice, qui perçait un salaire modeste pour des heures réduites. L’affaire soulève des questions sur l’éthique et la transparence dans le recrutement politique, avec des allégations d’un traitement inéquitable.
Lors de son départ, la jeune femme a affirmé avoir été informée par Soudais qu’elle ne « faisait pas l’affaire ». Elle dénonce un manque total de professionnalisme et une préférence injustifiée en faveur de son partenaire, qui aurait obtenu un poste à temps plein malgré des conditions moins favorables. Cette situation évoque une gestion délétère, où les priorités personnelles s’imposent au détriment du respect des engagements professionnels.