Une adolescente de 17 ans est décédée dans des conditions encore inconnues à Roubaix (Nord), où les forces de l’ordre ont retrouvé plusieurs cartouches de protoxyde d’azote près du corps. Le parquet de Lille a ouvert une enquête médico-légale pour déterminer l’origine exacte de son décès. Les secours et les policiers auraient été alertés, dimanche 16 novembre, par une voisine inquiète de ne plus avoir de nouvelles. Dans le quartier, l’émotion est grande. « Il y avait trois voitures de police et une camionnette blanche », explique-t-elle. À côté de la jeune fille, les enquêteurs découvrent de nombreuses cartouches de protoxyde d’azote semblables à des petites bonbonnes. En aurait-elle inhalé une quantité excessive ? Le parquet de Lille (Nord) a ouvert une enquête : « Les investigations médico-légales sont en cours pour déterminer l’origine exacte de son décès ».

Le médecin biologiste Clément Grzych déplore que le protoxyde d’azote, gaz dit hilarant, soit de plus en plus détourné par les jeunes consommateurs à des fins récréatives. « On a des usages chroniques qui vont entraîner des troubles neurologiques, psychiatriques, cardiovasculaires. On peut tomber assez rapidement, je pense, dans l’addiction au produit, puisqu’on voit quand même des personnes qui nous ont rapporté consommer 5, 10, 20 bonbonnes par jour pendant des mois », déplore le docteur Clément Grzych. Au début du mois, dans la même région, Mathis, 19 ans, perdait la vie, percuté par un automobiliste qui aurait consommé du protoxyde d’azote.

Le protoxyde d’azote, interdit aux mineurs depuis quatre ans, a été trouvé près du corps de l’adolescente. Les enquêteurs ont découvert des cartouches de ce gaz à côté du cadavre. Le parquet de Lille a ouvert une investigation médico-légale pour établir les causes du décès. La jeune fille aurait pu se procurer le protoxyde d’azote, mais les autorités ne savent pas comment elle l’a obtenu. Les experts alertent sur les risques liés à l’inhalation de ce gaz, qui pourrait entraîner des troubles neurologiques et cardiovasculaires. La consommation excessive de ballons de baudruche a été signalée comme une pratique dangereuse pour la santé.

La mort d’une adolescente de 17 ans à Roubaix suscite l’indignation dans le quartier, où les forces de l’ordre ont retrouvé des cartouches de protoxyde d’azote près du corps. Les autorités ne savent pas si la jeune fille a inhalé une quantité excessive de ce gaz, mais l’investigation médico-légale est en cours. Le parquet de Lille a ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes du décès. Le docteur Grzych a souligné les risques d’une consommation chronique de protoxyde d’azote, qui pourrait entraîner des troubles psychiatriques et cardiovasculaires. L’usage de ce gaz, interdit aux mineurs depuis quatre ans, est de plus en plus détourné par les jeunes.

Le protoxyde d’azote a été trouvé près du cadavre de l’adolescente, mais les autorités ne savent pas comment elle l’a obtenu. Les enquêteurs ont découvert des cartouches de ce gaz à côté du corps. L’investigation médico-légale est en cours pour déterminer les causes du décès. Le docteur Grzych a alerté sur les risques d’une consommation chronique de protoxyde d’azote, qui pourrait entraîner des troubles neurologiques et cardiovasculaires. La consommation excessive de ballons de baudruche a été signalée comme une pratique dangereuse pour la santé.

Une adolescente de 17 ans est décédée à Roubaix (Nord), où les forces de l’ordre ont retrouvé plusieurs cartouches de protoxyde d’azote près du corps. Le parquet de Lille a ouvert une enquête médico-légale pour déterminer l’origine exacte de son décès. Les secours et les policiers auraient été alertés, dimanche 16 novembre, par une voisine inquiète de ne plus avoir de nouvelles. Dans le quartier, l’émotion est grande. « Il y avait trois voitures de police et une camionnette blanche », explique-t-elle. À côté de la jeune fille, les enquêteurs découvrent de nombreuses cartouches de protoxyde d’azote semblables à des petites bonbonnes. En aurait-elle inhalé une quantité excessive ? Le parquet de Lille (Nord) a ouvert une enquête : « Les investigations médico-légales sont en cours pour déterminer l’origine exacte de son décès ».

Le médecin biologiste Clément Grzych déplore que le protoxyde d’azote, gaz dit hilarant, soit de plus en plus détourné par les jeunes consommateurs à des fins récréatives. « On a des usages chroniques qui vont entraîner des troubles neurologiques, psychiatriques, cardiovasculaires. On peut tomber assez rapidement, je pense, dans l’addiction au produit, puisqu’on voit quand même des personnes qui nous ont rapporté consommer 5, 10, 20 bonbonnes par jour pendant des mois », déplore le docteur Clément Grzych. Au début du mois, dans la même région, Mathis, 19 ans, perdait la vie, percuté par un automobiliste qui aurait consommé du protoxyde d’azote.