Le lendemain de la manifestation du 1er mai, 54 personnes ont été placées en garde à vue à Paris. Parmi elles, une femme est suspectée par les autorités d’être impliquée dans l’utilisation de mortiers lors des affrontements survenus près du stand du Parti Socialiste.
Les policiers et le procureur de la République ont confirmé que cette personne en garde à vue a été arrêtée pour ses actions suspectes, incluant non seulement l’utilisation de mortiers mais aussi d’autres actes de violence et dégradations.
Les 53 autres personnes sont maintenues en garde à vue dans le cadre d’infractions liées à des troubles à l’ordre public lors de la manifestation, dont la dissimulation du visage et les infractions commises lors des rassemblements.
Les autorités continuent leurs investigations pour comprendre pleinement les circonstances entourant ces incidents.