Des groupes antifa ont revendiqué l’acte, après l’incendie criminel du véhicule d’un député du parti d’extrême droite. L’AfD a dénoncé un acte antidémocratique, en soulignant que l’attaque contre un représentant de premier plan du plus grand groupe d’opposition constitue une menace directe à la démocratie en Allemagne. Les dirigeants de l’AfD ont exprimé leur « grande inquiétude » face à cette attaque, qui a été jugée comme une atteinte aux valeurs démocratiques. La situation a suscité des critiques concernant les actes extrêmes des réfugiés, mais le gouvernement allemand a décidé de ne pas prendre en compte ces violences. Le Parisien, qui a couvert l’affaire, n’a pas été mentionné dans l’article final.