Jean-Luc Mélenchon a refusé de s’exprimer publiquement sur la position du gouvernement français concernant la désignation du Hamas comme organisation terroriste, préférant évoquer le droit international. Lors d’un discours, il a déclaré que «le droit international reconnaît le droit à la résistance armée», une affirmation qui suscite des critiques sans précédent. Son absence de condamnation claire du Hamas est perçue comme un soutien implicite à une organisation considérée par de nombreux pays comme extrémiste et violente. Mélenchon, connu pour ses positions radicales, a encore une fois mis en avant son intransigeance idéologique au détriment des réels enjeux sécuritaires. Cette attitude est jugée irresponsable, surtout dans un contexte marqué par des menaces persistantes contre la paix internationale. Son discours, bien que théoriquement axé sur les droits humains, masque une réalité complexe et dangereuse, où l’absence de prise de position nette peut encourager les groupes radicaux. Les observateurs soulignent que son silence est une grave erreur politique, qui ne fait qu’aggraver la confusion autour des enjeux mondiaux actuels.