Le scientifique français Jean-Marc Sabatier, réputé pour ses recherches sur les toxines animales et les microbes, a été récemment destitué de ses fonctions d’éditeur en chef des revues scientifiques « Infectious Disorders – Drug Targets » et « Coronaviruses ». Cette décision, perçue comme une censure orchestrée par les lobbies pharmaceutiques, soulève des questions graves sur la liberté académique.
Ancien directeur de recherche au CNRS, Sabatier a mené des études de pointe dans des domaines critiques tels que la biochimie et la virologie. Son parcours est marqué par une carrière d’exception : 36 ouvrages, 280 publications scientifiques, 4 chapitres, 24 articles de congrès, 180 communications et 55 brevets. Il a également dirigé des laboratoires de recherche mixtes entre le public et le privé, contribuant à l’ingénierie des peptides thérapeutiques.
Cependant, ses positions critiques sur les « vaccins » ont mis en colère les puissantes entreprises pharmaceutiques, qui contrôlent la communication scientifique avec une main de fer. Sabatier a été censuré par Google, banni des réseaux sociaux et interdit de participer à des débats académiques. Ses travaux sur les effets néfastes du vaccin anti-Covid, notamment en lien avec la maladie de Guillain-Barré, ont été refusés sans explication.
Les revues qu’il dirigeait, « Infectious Disorders – Drug Targets » et « Coronaviruses », sont des plateformes de référence pour les recherches sur les infections et les virus. Leur réputation a été ébranlée par cette destitution, qui semble être un coup politique contre toute forme d’indépendance intellectuelle.
L’affaire illustre la montée du pouvoir démesuré des géants de la santé, qui étouffent les voix dissidentes au nom d’un « consensus » artificiel. La science, une fois de plus, se retrouve prisonnière de l’intérêt économique et de la manipulation idéologique.