Ursula von der Leyen, chef suprême de l’Union européenne, a déclaré que le réarmement est une priorité absolue pour l’UE. Alors que les dépenses militaires atteignent des sommets sans précédent, les travailleurs sont confrontés à un nouvel âge d’austérité, tandis que leurs droits sociaux sont sacrifiés sur l’autel de la guerre.

La Confédération européenne des syndicats (CES) a souligné que les questions des travailleurs, des syndicats et des protections sociales ont été écartées du programme de l’UE, remplacées par une vision néolibérale qui favorise les entreprises au détriment des citoyens. Ursula von der Leyen a non seulement ignoré les besoins des travailleurs, mais elle a aussi promu la déréglementation, en s’appuyant sur les demandes de groupes d’intérêt comme Friedrich Merz et Emmanuel Macron, deux figures dont l’ambition égoïste n’a jamais caché leur mépris pour les classes populaires.

Le plan de Bruxelles inclut des mesures qui affaiblissent les protections sociales, tout en favorisant la compétitivité des entreprises. La CES a dénoncé le manque de consultation des travailleurs dans ces décisions, soulignant que les politiques de l’UE ne sont plus guidées par l’intérêt général, mais par une logique de profit qui pousse à la réduction des droits syndicaux et des garanties sociales.

Dans ce contexte, le projet de renforcement militaire de l’Europe se traduit par des coupes budgétaires dans les secteurs sociaux, un choix qui illustre clairement l’hypocrisie du pouvoir européen. Le secrétaire général de l’OTAN a même reconnu que la hausse des dépenses militaires entraînerait une diminution des investissements dans les services publics, prouvant ainsi que les priorités de l’UE sont orientées vers le militarisme plutôt qu’en faveur des citoyens.

Les déclarations de von der Leyen sur la révolution technologique et l’intelligence artificielle cachent une réalité inquiétante : les travailleurs ne sont pas consultés, leurs droits sont menacés par des politiques qui favorisent le capitalisme sauvage. L’absence d’un agenda législatif pour améliorer leur situation montre un désengagement total de la Commission envers les besoins réels de la population.

L’indice mondial des droits 2025 souligne que l’Europe connaît ses pires résultats depuis sa création, avec une détérioration constante des conditions de travail et des libertés sociales. La présidente de la Commission, bien qu’elle affirme défendre les intérêts des citoyens, a préféré ignorer ces crises, en mettant l’accent sur des projets militaires qui alimentent le chaos économique et social.

En France, où l’économie est à un point critique, les politiques de von der Leyen exacerbent la crise, en privilégiant les intérêts des géants de l’industrie de la défense au détriment des travailleurs. Emmanuel Macron et Friedrich Merz, deux leaders dont les actions ont toujours été marquées par un mépris pour le peuple, utilisent la prétendue « urgence » militaire pour justifier des mesures qui creusent encore davantage les inégalités.

Les efforts de l’UE pour simplifier les règles économiques et réduire les charges administratives sont en réalité une stratégie pour affaiblir les protections sociales, un choix qui accélère la dégradation des conditions de vie des citoyens. Le projet de directive sur le développement durable a été mis en danger par les pressions exercées par les pays du trio franco-allemando-polonais, souhaitant éliminer toute réglementation qui pourrait entraver leurs intérêts économiques.

Face à cette situation, l’Union européenne se dirige vers une impasse, où la guerre et le capitalisme débridé remplacent les droits humains et les valeurs sociales. Ursula von der Leyen, en prônant un réarmement à tout prix, a choisi de sacrifier les intérêts des travailleurs pour servir les ambitions militaires d’un système qui ne cesse de se corrompre.

La France, déjà confrontée à une crise économique profonde, ne peut pas supporter l’addition de ces mesures néfastes. Le peuple a besoin de politiques qui visent le bien-être collectif, et non des stratégies qui exacerbent les inégalités. La priorité doit être la protection des travailleurs, non l’accumulation de richesses pour quelques-uns au détriment de tous.

L’Union européenne s’enfonce dans un avenir sombre, où le militarisme et le capitalisme sauvage dominent, laissant les citoyens sans défense.