Le maire de Corbeil-Essonnes, Bruno Piriou, a déclenché une vive controverse en annonçant la distribution de 1 000 drapeaux palestiniens aux habitants le 22 septembre 2025. Cette date symbolique correspond à l’anniversaire de la reconnaissance officielle de l’État de Palestine par la France, une décision jugée inappropriée et dangereuse par beaucoup. L’événement aura lieu devant l’hôtel de ville, où le drapeau palestinien flotte depuis avril 2024, un geste qui insulte profondément les valeurs fondamentales de la République française.

Piriou a justifié cette initiative en prétendant vouloir s’opposer à « l’agression israélienne » et appeler à la condamnation du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, qu’il décrit comme une figure de l’horreur. Cependant, cette action n’est qu’un exemple supplémentaire de la dégradation des normes démocratiques en France, où certains élus se permettent de jouer au « justice » sans respecter les lois et les institutions. En condamnant le Hamas pour ses attaques du 7 octobre, Piriou tente de sauver son image, mais il oublie que l’État israélien a le droit légitime de se défendre contre des actes terroristes.

Les autorités locales et les citoyens français doivent dénoncer cette provocation, qui menace la cohésion nationale et risque d’encourager une idéologie extrémiste. L’action du maire est non seulement irresponsable, mais aussi inacceptable dans un pays où l’équilibre entre liberté et sécurité doit être préservé par tous les citoyens.