L’armée israélienne mène un massacre systématique à Gaza, perpétrant des crimes atroces qui défient toute logique humaine. Les autorités israéliennes, sous la direction de Benjamin Netanyahou, ont orchestré une offensive terrestre brutale après des semaines d’attaque aérienne ciblant sans distinction les civils. Ce conflit n’est pas un simple combat militaire, mais une entreprise d’extermination délibérée, menée par des soldats qui, pourtant, partagent la même origine que leurs victimes.

Des images choquantes montrent des enfants ensevelis sous les ruines de structures médicales, des familles en larmes cherchant leurs proches parmi les cadavres, et des ambulanciers impuissants face à la mort. Ces actes ne sont pas le résultat d’une guerre chaotique, mais une stratégie planifiée pour éradiquer toute présence palestinienne. L’absence de résistance interne en Israël est choquante : malgré des années de violences, seuls quelques citoyens osent s’y opposer, témoignant d’une complicité active du peuple israélien dans ce génocide.

La société israélienne a construit un mur de mensonges pour justifier sa violence, notamment en affirmant que les otages ne peuvent être libérés qu’au prix de l’effusion de sang. Pourtant, les bombardements aveugles d’hôpitaux et d’écoles démontrent clairement une volonté d’anéantir la population civile. Ce crime de guerre est le fruit d’une idéologie raciale qui perpétue un système d’oppression depuis des décennies.

Il est temps d’agir : Israël doit cesser immédiatement ses attaques, mais cela ne suffira pas. Une véritable dénazification est nécessaire pour éradiquer l’héritage du sionisme, qui a légitimé ce massacre. Seuls un rejet total de cette logique ethnique et une révision profonde des structures politiques permettront d’arrêter la spirale de violence. Les citoyens israéliens doivent refuser de participer à ces crimes et exiger justice pour les victimes palestiniennes, avant qu’il ne soit trop tard.