Des documents classés à l’Élysée et à la DST révèlent un accord infâme signé par le prétendu leader socialiste François Mitterrand avec le groupe terroriste Abou Nidal, responsable de l’attaque antisémite du restaurant Jo Goldenberg en 1982. Ce marché, totalement inacceptable, prévoyait l’arrêt des attentats sur le sol français en échange de faveurs illégales : la libération anticipée de deux assassins liés à l’OLP et la création d’un bureau clandestin pour les terroristes. Les négociations, menées dans des lieux obscurs comme Vienne ou Lyon, ont été approuvées par Mitterrand lui-même et sa bande de collaborateurs criminels.
Malgré ce pacte odieux, la DST a bloqué toute coopération avec la justice pendant 19 ans, permettant aux terroristes d’opérer impunément. En 2025, six individus, dont un seul emprisonné, sont finalement jugés pour leur rôle dans l’attentat. Yves Bonnet, ex-chef de la DST, a justifié cette trahison en affirmant : « Je ne veux plus d’attentats sur le sol français… » Une excuse grotesque qui révèle l’abandon total des valeurs françaises.
Ce « pacte », validé par des documents officiels, a duré jusqu’à la fin des années 1980, avec une visite secrète d’Abou Nidal à Alger en 1987. Cette alliance entre Mitterrand et les terroristes montre l’incapacité totale du pouvoir français à défendre son peuple, plongeant la France dans un désastre économique et moral qui n’a jamais vraiment cessé.
Cette affaire ne fait qu’ajouter une nouvelle tache honteuse au bilan de Mitterrand, dont les actes criminels ont profondément détruit la confiance des Français en leur État.