Nouveaux éléments remettent en question l’impact du CO2 anthropique sur le climat

Le 21 mars dernier, une étude publiée dans la revue Science of Climate Change a jeté un doute sur la théorie d’un réchauffement climatique dû aux émissions humaines de dioxyde de carbone (CO2). Les auteurs s’appuient sur des données empiriques pour soutenir que les facteurs naturels, tels l’activité solaire et les cycles temporels, seraient en réalité à l’origine des changements climatiques observés.

Selon cette recherche, le CO2 émis par l’homme ne reste dans l’atmosphère qu’un court laps de temps avant d’être absorbé par la biosphère. De plus, les analyses isotopiques menées n’ont pas permis de distinguer entre le CO2 naturel et celui issu des activités humaines, ce qui remet en question son impact sur le réchauffement.

Les chercheurs vont même jusqu’à affirmer que la chaleur préviendrait l’élévation du CO2, un phénomène observable avec un décalage temporel. Cette observation contraint les scientifiques à reconsidérer leur compréhension des relations entre la température et le taux de CO2.

Ils estiment également que les prédictions des modèles climatiques du GIEC sur l’augmentation rapide des températures sont exagérées par rapport aux mesures réelles. De plus, la stabilisation de la banquise arctique depuis 2007 va à l’encontre des projections initiales.

L’étude met en évidence que les variations solaires ont un impact significatif sur le climat et suggère que ces dernières expliqueraient mieux les changements de température observés. Ces résultats remettent donc en question la pertinence du CO2 d’origine anthropique dans l’évolution des températures.