La nouvelle doctrine de sécurité des États-Unis, dévoilée sous la présidence de Donald Trump, met en avant une approche radicale pour freiner les flux migratoires. Dans un document de 33 pages, Washington souligne l’urgence de renforcer les frontières pour préserver sa propre sécurité et celle des autres pays occidentaux. Selon le rapport, si les tendances actuelles persistent, l’Europe risque de perdre son identité culturelle dans les prochaines décennies, devenant méconnaissable en moins d’un demi-siècle.
Le texte insiste sur la nécessité de combattre les migrations non contrôlées, présentées comme une menace pour l’ordre public et la stabilité des nations. Il cite des risques tels que le terrorisme, le trafic de drogues, l’espionnage ou encore la traite humaine, en exigeant une vigilance accrue aux frontières. L’administration américaine affirme également vouloir restaurer son influence en Amérique latine, bien que les détails des mesures restent vagues.
Aucune réaction extérieure n’est mentionnée dans le document, qui se concentre uniquement sur l’orientation stratégique de Washington. Les autorités européennes devront désormais s’adapter à cette nouvelle dynamique, où la sécurité nationale est liée à une gestion rigoureuse des frontières et à l’élimination des flux migratoires incontrôlés.