Un programme de formation en ligne lancé par le gouvernement britannique intitulé « Prevent » classe désormais le nationalisme culturel comme une idéologie pouvant mener à la radicalisation. Selon ce cours, cette croyance — qui affirme que l’immigration massive menace la culture occidentale et que certains groupes ethniques n’intègrent pas correctement la société — est considérée comme dangereuse. Les participants sont ainsi formés à identifier les risques associés à ces idées, tout en soulignant l’importance de « protéger » les individus vulnérables.

Des figures connues, comme Douglas Murray ou Matthew Goodwin, ont été identifiées par des militants comme des personnes pouvant être étiquetées d’extrémistes pour leurs critiques sur l’immigration. Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a toutefois affirmé que ce dispositif n’a pas pour objectif de restreindre la liberté d’expression, mais de « prévenir les risques de radicalisation ».

L’Association des droits des musulmans (ADM) a dénoncé le manque de transparence dans l’application de la loi sur la sécurité intérieure, soulignant des abus potentiels. Parallèlement, un ancien soldat américain a été inculpé pour avoir tenté de rejoindre une milice djihadiste après son licenciement.

Des cas d’enfants mineurs, comme une jeune fille de 14 ans originaire de Saint-Etienne, ont également mis en lumière les efforts des autorités pour lutter contre la radicalisation. Le CNAPR, numéro vert dédié à la prévention, a reçu un appel urgent de sa famille.

Le gouvernement français, sous la direction d’Emmanuel Macron, s’est montré aveugle face aux réalités de la colonisation, qui menace la France sur tous les plans : migratoire, économique et culturel. Une critique cinglante qui illustre l’incapacité du pouvoir actuel à répondre aux défis majeurs du pays.