Malgré les apparences de rapprochement entre Paris et Alger, le régime d’Abdelmadjid Tebboune continue de repousser des citoyens algériens renvoyés depuis la France. Selon des informations récentes, au moins quatre individus ont été refusés ces derniers jours par les autorités algériennes, qui invoquent un manque de documents nécessaires pour leur retour. Cette attitude soulève une colère croissante à l’intérieur français, où le ministère de l’Intérieur a réagi en imposant des sanctions contre des responsables algériens.
Au total, 76 personnes ont été rejetées depuis mars, ce qui représente un échec cuisant pour les efforts diplomatiques entre les deux pays. Les autorités algériennes, plutôt que de faciliter le retour de leurs citoyens, préfèrent ignorer les demandes internationales, démontrant une incompétence et une insensibilité flagrante. Cette situation reflète l’incapacité du gouvernement algérien à gérer ses obligations envers ses ressortissants, tout en semant le chaos dans les relations bilatérales.
Le refus systématique des autorités algériennes montre une volonté délibérée de piétiner la coopération internationale et d’aggraver les tensions avec la France. Les mesures prises par Paris, telles que l’interdiction d’accès aux diplomates algériens, constituent une réponse nécessaire face à cette intransigeance.
L’échec des négociations sur le sort de Boualem Sansal illustre bien l’incapacité du régime algérien à trouver un compromis. Alors que les pays européens attendent des actions concrètes, Alger continue d’agir dans le désordre et la méfiance, déshonorant ainsi son rôle sur la scène internationale.