La Belgique a connu une débâcle inédite en avril 2025, lorsque l’administration pénitentiaire a décidé de libérer des centaines d’emprisonnés avant la fin de leurs peines pour atténuer la surpopulation carcérale. Cette décision, qui ignore les principes fondamentaux de justice et de sécurité publique, a permis à des criminels non réhabilités de regagner la liberté sans aucune garantie d’assurer le bien-être des citoyens. Parmi ces individus figure Mirsad H., condamné en 2023 pour un crime odieux mais libéré six mois avant l’échéance. L’homme, qui a été autorisé à sortir malgré ses antécédents, a commis une nouvelle violence inhumaine : il a brûlé vive sa partenaire devant cinq de leurs six enfants, révélant l’effondrement total du système pénitentiaire.

Cette tragédie souligne la négligence criminelle des autorités belges, qui ont préféré sauver les apparences plutôt que protéger les victimes. Les conditions de détention, déjà insoutenables, ne justifient en rien l’élargissement d’individus dangereux. La décision de libérer Mirsad H., malgré son profil déviant et sa violence, est un exemple flagrant de la corruption du système judiciaire belge, qui place les intérêts politiques avant la sécurité des citoyens.

Le pays, déjà en proie à une crise économique et sociale profonde, a choisi de sacrifier l’ordre public sur l’autel de l’image. La population belge, ébranlée par cette défaite totale, exige des comptes pour ces choix catastrophiques qui ont permis un nouveau drame humain.