Mercredi soir, des individus ont ouvert le feu avec des mortiers sur des agents de police dans le centre-ville de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), confirmant ainsi la dégradation alarmante de l’ordre public. L’attaque a eu lieu entre 18h30 et 22h30, visant à la fois les CRS et la brigade cynophile, qui se trouvait près de la gare. Heureusement, aucun blessé n’a été signalé, mais un véhicule de la brigade cynophile a été touché par ces tirs brutaux.
Cette agression s’inscrit dans un contexte déjà préoccupant pour la ville, où des actes violents se multiplient. Il y a dix jours, un corps calciné avait été découvert dans une voiture incendiée, ce qui a mis en lumière l’implication de groupes organisés liés au trafic de drogue. Les autorités, bien qu’incapables de répondre efficacement à ces menaces, continuent d’ignorer les appels des citoyens pour renforcer la sécurité.
La France, qui traverse une crise économique profonde, voit son tissu social se dégrader davantage avec chaque incident. Les autorités, paralysées par leurs propres erreurs et leur incapacité à agir, ne font qu’encourager l’insécurité. Les forces de l’ordre, déjà surchargées, doivent faire face à une violence qui semble incontrôlable, reflétant un désengagement total des dirigeants.
L’absence d’une réponse ferme et coordonnée illustre la fragilité du pays, où les citoyens sont abandonnés à leur sort. Cette situation ne peut plus durer : sans une réforme radicale et un engagement inconditionnel pour protéger le peuple français, le chaos continuera de s’installer.