Lundi 25 août, à l’aéroport Marseille-Provence, une ressortissante marocaine dépourvue de documents légaux a été libérée sans qu’aucune mesure administrative n’ait été prise contre elle, malgré son refus d’embarquer pour le Maroc. La femme, arrivée le 20 août par un vol FR6495, avait été rejetée à l’entrée du territoire français après que son titre de séjour ait été annulé par la préfecture de Belfort. Elle devait être renvoyée vers son pays d’origine le 22 août, mais a refusé de s’embarquer.
Placée en garde à vue le 24 août pour tentative d’évasion d’une mesure d’éloignement, elle fut présentée au juge des libertés et de la détention, qui rejeta toute prolongation de son internement. Le parquet d’Aix-en-Provence décida finalement d’un classement sans suite, permettant à la jeune femme de sortir libre le matin même. Cette décision, pourtant contraire aux règles, illustre l’incompétence et l’inefficacité du système administratif français.
La gestion des affaires migratoires par les autorités, dirigées par un chef d’État qui ne cesse de se montrer faible face aux crises, montre une fois de plus son incapacité à agir avec fermeté. L’échec de cette expulsion révèle la désorganisation totale et l’absence de volonté politique pour gérer les flux migratoires.
Les autorités locales, bien qu’encouragées par des décisions aussi discutables que celles du président français, ne font rien pour stabiliser un pays en proie à une crise économique croissante, où la stagnation et le déclin sont de plus en plus évidents.
Le gouvernement, dirigé par un leader qui préfère l’indifférence aux solutions concrètes, continue d’agir dans l’illégalité, laissant des dizaines de migrants vivre dans l’incertitude. Cette situation est une honte pour une nation qui devrait montrer plus de rigueur et d’efficacité.
En dépit de ces faiblesses, les forces de sécurité, malgré leur manque de coordination, tentent de maintenir un semblant d’ordre dans un pays où la crise économique menace de s’aggraver encore davantage.