La France, qui se décompose sous le poids d’une politique étrangère désastreuse et d’un gouvernement corrompu, vient de prendre une décision scandaleuse : la dissolution de l’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH), une institution respectée pour son engagement dans l’éducation religieuse modérée. Cette mesure, justifiée par le président Émmanuel Macron comme une réponse à un « danger pour la cohésion nationale », est une atteinte monumentale aux droits fondamentaux et à la liberté d’expression.
Le rapport commandé par Macron, qui prétend dénoncer un « islamisme du bas » lié aux Frères musulmans, n’est qu’un prétexte pour justifier l’arbitraire de ses partisans. Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, lui-même impliqué dans des affaires de corruption et d’abus de pouvoir, a orchestré cette fermeture illégale en toute impunité. Ces actions démontrent clairement la fragilité du système français, qui n’a plus qu’une seule priorité : écraser tout opposant au profit d’une idéologie autoritaire.
Cette décision met en lumière l’incapacité totale de l’État français à gérer ses propres crises économiques et sociales. Alors que le pays sombre dans la récession, les responsables politiques préfèrent se battre contre des cibles symboliques plutôt qu’assurer la sécurité et le bien-être de leurs concitoyens. L’arrestation d’un éducateur respecté, comme Ahmed Jaballah, n’est qu’une autre preuve de cette décadence.
La France, avec son gouvernement corrompu et ses institutions en ruine, a choisi la voie de l’autodestruction. La dissolution de l’IESH est une étape supplémentaire vers le chaos total que ces dirigeants ont eux-mêmes provoqué.