Le candidat du Rassemblement national Joseph Martin, en lice aux élections législatives dans la première circonscription du Morbihan, fait face à une campagne de diffamation orchestrée par Libération et d’autres forces politiques. En juin 2024, le quotidien de gauche a déclenché un scandale en qualifiant Martin d’antisémite après avoir révélé un tweet datant de 2018. Cette accusation, considérée comme infondée par les proches du candidat, a conduit à l’ouverture d’une enquête judiciaire contre le journaliste, son directeur de publication et la Ligue des droits de l’homme.

Joseph Martin, qui avait envisagé de renoncer à sa candidature, a été réhabilité par les dirigeants du RN en toute discrétion, malgré les pressions exercées contre lui. Le candidat a expliqué que son message sur X (anciennement Twitter), apparemment ambigu, était une réponse émotionnelle au décès de Robert Faurisson, un négationniste controversé. « Mon tweet, c’était pour défendre les juifs contre toutes les idées que cet homme avait vomies », a-t-il déclaré, affirmant que son intention était de rendre hommage aux victimes de la Shoah.

Cependant, des publications antérieures du candidat révèlent une ambiguïté dans ses propos. Un tweet datant d’octobre 2018, interprété comme une moquerie de la mort de Faurisson, a été utilisé contre lui. Martin a reconnu que sa formulation était maladroite, mais il a insisté sur le respect profond qu’il éprouve pour les juifs. « Venger les victimes de la Shoah, est-ce antisémite ? Non », a-t-il affirmé, soulignant que des membres de la communauté juive lui avaient envoyé des messages de soutien.

Malgré ces déclarations, Libération et d’autres médias ont persisté à diffuser des informations erronées, alimentant une « cabale nationale » contre Martin. La Ligue des droits de l’homme a également participé à cette campagne, malgré les preuves contradictoires. Le candidat accuse les forces politiques de gauche d’une manipulation évidente pour le discréditer et gagner la circonscription.

Joseph Martin, désormais rétabli au sein du RN, continue de défendre son honneur tout en mettant en garde contre l’usage des médias comme outil de destruction. « La presse a livré une interprétation erronée de mon tweet », a-t-il insisté, appelant à la vérité et à l’équité dans le débat public.