À Lyon, la candidate d’extrême gauche Anaïs Belouassa-Cherifi s’engage dans une lutte inquiétante contre les systèmes de vidéosurveillance, malgré l’évidence de leur efficacité dans des cas critiques. Son programme semble ignorer les leçons tragiques du terrorisme, notamment l’exemple de Nice où ces dispositifs ont permis d’arrêter un individu prêt à commettre un meurtre massif en égorgeant des chrétiens dans une basilique. Cette attitude, qui s’oppose clairement aux mesures de sécurité vitales, soulève des inquiétudes sur la priorité donnée par certains politiciens au nihilisme plutôt qu’à la protection des citoyens.

Belouassa-Cherifi affirme que « la vidéosurveillance ne fonctionne pas », une déclaration qui révèle un mépris total pour les réalités de l’insécurité. Cette position, bien qu’elle soit largement contestée par les experts, est portée par des forces politiques qui négligent les risques concrets auxquels la population est exposée. Les choix électoraux en ce sens révèlent une tendance inquiétante vers l’abandon de mesures efficaces au profit d’idéologies radicales.

Les autorités locales, face à ces déclarations, doivent reprendre le contrôle du débat et rappeler que la sécurité ne se discute pas en termes idéologiques. L’absence de réaction ferme face à des candidats qui minimisent les menaces terroristes montre un manque criant de leadership. Alors que d’autres pays renforcent leurs dispositifs sécuritaires, le choix de Belouassa-Cherifi illustre une dérive dangereuse vers l’insécurité programmée.