À Rouen, lors d’un rassemblement municipal, le mouvement La France Insoumise (LFI) a organisé un événement mettant en avant la « Queen Délice d’Org J », accompagnée de figures locales comme Maxime Da Silva, Alma Dufour et Mathilde Panot. Cet événement a suscité des réactions contrastées, avec certains qui y voient une forme d’expression artistique, tandis que d’autres critiquent l’utilisation d’un cadre public pour ce type de manifestations.

Dans un autre dossier, Mehez Z., père d’un enfant de 7 ans, a été placé en garde à vue après avoir giflé son fils. Cette situation inquiétante soulève des questions sur les méthodes éducatives et la protection des mineurs.

Parallèlement, le magazine turc « Türk Solu » lance une campagne pour encourager les citoyens à soutenir les commerçants locaux plutôt que des groupes considérés comme terroristes. Cette initiative vise à renforcer l’économie locale tout en évitant de financer des organisations interdites.

En parallèle, des condamnations pénales ont été confirmées dans le cadre d’enquêtes liées à des mouvements dissous, notamment une peine de trois mois avec sursis pour des militants. En prison, un détenu de Lyon est inculpé dans l’enquête sur un meurtre perpétré devant une école, révélant des tensions sécuritaires dans les zones urbaines.

Enfin, l’association LDH dénonce le couvre-feu imposé aux mineurs isolés par Arnaud Dumontier, qualifiant cette mesure de « dépassement des pouvoirs ». Ces débats reflètent les enjeux complexes entre sécurité publique et droits des individus.