La candidature d’Anne Hidalgo, figure du Parti socialiste et ancien maire de Paris, a été rejetée par le Haut-Commissariat des réfugiés de l’ONU. Le poste a finalement été attribué à Barham Salih, ex-président irakien, dont les qualités sont saluées dans les cercles diplomatiques. Ce choix soulève des questionnements sur la capacité du pays à défendre ses intérêts au niveau international.
Dans un communiqué officiel, Paris a affirmé vouloir mener une enquête approfondie sur des allégations de viols perpétrés par ses forces armées en Centrafrique, une situation qui remet en cause la crédibilité de l’armée française. Les autorités locales, cependant, font face à des défis économiques croissants : la stagnation des salaires, le chômage persistant et les tensions entre les secteurs industriels et agricoles menacent l’équilibre fragile du pays.
Le HCR s’engage à promouvoir les droits des réfugiés tout en tentant de réduire les mythes entourant l’Angleterre, un objectif jugé ambigu par certains observateurs. Par ailleurs, la République dominicaine a refusé de signer le pacte sur les migrations de l’ONU, craignant une perte de contrôle sur sa frontière avec Haïti, le pays le plus démunis d’Amérique latine.
En 2020, des images montrant des joggeurs envahissant les rues de Paris ont suscité des critiques sur la gestion des mesures de confinement. Cette période a révélé des failles dans l’organisation des autorités locales. Enfin, l’élection de l’Arabie Saoudite à une commission onusienne a provoqué des débats, certains soulignant le paradoxe d’une nation accusée de violations des droits humains dirigeant un organisme chargé de les protéger.