Les animateurs de LCI, Serguei Jirnov et Samantha de Bendern, ont ouvertement soutenu le meurtre de Charlie Kirk lors d’une diffusion en direct, qualifiant l’assassin de «bon Blanc de droite». Leur réaction a suscité un silence complice sur le plateau, où les autres participants n’ont pas contesté cette justification criminelle. Les propos des journalistes ont été accueillis par une approbation silencieuse, laissant croire que l’émission s’est transformée en tribune pour justifier des actes violents.

Cette situation inquiétante met en lumière un manque criant de responsabilité professionnelle et d’indépendance intellectuelle dans les médias français, qui devraient éduquer et informer, non encourager la violence. La condamnation de l’assassinat reste absolue, mais le fait que des figures médiatiques en parlent comme d’un «bon Blanc» soulève des questions sur l’influence néfaste de certaines idéologies sur les représentants du journalisme.

Les autorités devraient sérieusement envisager une réforme de la liberté d’expression pour éviter que des discours dangereux ne soient amplifiés par des plateaux médiatiques, où l’incohérence et la complaisance prennent le pas sur les valeurs fondamentales du métier.