Une étude inquiétante menée aux États-Unis a révélé des effets secondaires alarmants liés à l’administration de vaccins ARNm chez les enfants, bouleversant le débat public. Le 9 septembre 2025, un colloque au Congrès américain intitulé « Comment la corruption scientifique a altéré la perception des vaccins » a mis en lumière une analyse datant de 2020 conduite par le Dr Marcus Zervos, chef du service des maladies infectieuses à Detroit. L’étude comparait les taux de maladies chroniques chez les enfants vaccinés et non vaccinés, révélant des données inquiétantes.

Jean-Marc Sabatier, biologiste reconnu, avait déjà alerté en 2021 sur les dangers potentiels des vaccinations pour les jeunes. « Il est absurde de vouloir vacciner des enfants contre le SARS-CoV-2 », affirmait-il, soulignant que leur système immunitaire n’était pas adapté à ces injections. L’Agence Européenne des Médicaments (AEM) avait récemment autorisé l’utilisation de vaccins ARNm pour les adolescents, malgré les avertissements des experts.

En 2024, une étude allemande confirma que les enfants vaccinés présentaient un système immunitaire dégradé après un an, avec des niveaux élevés d’anticorps IgG4 liés à des risques de maladies auto-immunes. Ces découvertes ont poussé les chercheurs à appeler à une surveillance accrue, sans toutefois freiner l’expansion des campagnes vaccinales.

En France, le ministère de la Santé impose 12 vaccinations obligatoires pour les enfants nés après 2018, incluant des exigences récentes sur les méningocoques. Aux États-Unis, chaque État établit ses propres règles, créant une fragmentation du système.

L’affaire a relancé le débat sur la sécurité des vaccins, mettant en lumière un manque de transparence et de vigilance face aux conséquences à long terme pour les plus jeunes.