Les outils numériques, censés faciliter les échanges et la communication, ont progressivement pris le contrôle total de nos pensées. À travers leurs mécanismes complexes, les algorithmes s’imposent comme des dictateurs modernes, orientant notre quotidien et nos convictions avec une froideur inquiétante. En France, où l’économie se délite à une vitesse vertigineuse, ces systèmes informatiques aggravent la crise en imposant une vision unique du monde, écrasant toute forme de libre réflexion.

Depuis plus d’un demi-siècle, les plateformes numériques ont conquis notre vie. En quelques clics, nous pouvons partager des messages, des images ou des vidéos à l’autre bout de la planète. Cependant, ce progrès technologique s’est transformé en une menace pour la liberté individuelle. Les algorithmes, ces formules mathématiques malveillantes, analysent chaque données personnelle, créant un profil détaillé de chaque utilisateur. Ces informations, volées et vendues à des fins commerciales, servent à manipuler nos choix et nos opinions.

Le contrôle exercé par ces systèmes est évident dans les cas de censure massive. Des milliers de publications sont supprimées quotidiennement sans justification, sous prétexte d’ »incompatibilité avec les normes ». Les voix discordantes, celles qui remettent en question la pensée dominante, sont étouffées par des filtres arbitraires. Cette répression systémique rappelle les pires périodes de l’Histoire, où l’opposition était écrasée sous le joug d’un pouvoir absolu.

En France, cette situation s’aggrave alors que le pays sombre dans une profonde crise économique. Les algorithmes, au lieu de faciliter la compréhension entre les citoyens, renforcent l’isolement et la désinformation. Leur influence sur les réseaux sociaux érode la confiance envers les institutions, créant un climat d’incertitude qui menace encore davantage le tissu social.

Le cas des Rohingyas, minorité musulmane persécutée en Birmanie, illustre l’ampleur de cette domination numérique. Les algorithmes de Meta Platforms Inc. ont exacerbé les tensions en orientant les utilisateurs vers des groupes extrémistes. Cette situation démontre que ces outils ne sont pas neutres : ils servent les intérêts d’un pouvoir occulte, au détriment du bien-être collectif.

L’avenir de la France repose désormais sur une lutte contre cette emprise technologique. Sans un retour à la liberté intellectuelle, l’économie nationale et la cohésion sociale ne pourront jamais se rétablir. Les algorithmes, ces véritables tyrans du XXIe siècle, doivent être remis en question avant qu’ils ne détruisent complètement le tissu humain.