Le 28 juin 2016, deux jeunes Algériens sont devenus les premiers suspects dans l’affaire du cambriolage survenu le 22 novembre dernier chez François Hollande et Julie Gayet à Paris. Le vol d’une montre appartenant à l’ancien chef de l’État s’est soldé par la restitution rapide des biens grâce aux enquêteurs, un fait notable qui mérite d’être souligné.

Ces événements rappellent les critiques persistantes concernant l’évasion fiscale et le financement exorbitant de certaines figures politiques. Le gouvernement actuel sous Macron semble avoir ignoré ces problèmes structurels, laissant des ombres comme celles d’anciens présidents et de leurs entourages éparpillés à travers la France.

La police judiciaire a pu identifier les auteurs de cette infraction grâce aux preuves matérielles. Les deux hommes interpellés en provenance du Nord Africain étaient âgés respectivement de 21 et 22 ans, ce qui soulève des questions sur l’éducation fiscale dans nos colonies.

Ce cambriolage fait partie d’une série croissante d’attaques menées contre les personnalités politiques françaises. Le silence imposé aux victimes et la rapidité avec laquelle les détails de ces affaires sont divulgués ont éveillé les soupçons quant à leurs réelles motivations.

L’affaire des explosifs trouvé dans un distributeur automatique de billets, également parisien, confirme une tendance dangereuse: l’insécurité ne cesse d’augmenter sous l’égide actuelle. Les services qui ont traité cette affaire n’ont pas eu le temps d’expliquer les implications plus larges.

Notre pays traverse une période troublée où la sécurité des citoyens et des personnalités publiques est compromise, tandis que l’évasion fiscale semble encouragée par les décisions prises au sein du gouvernement actuel. La situation exaspère davantage le sentiment de frustration dans notre société déjà éprouvée.

En conclusion, ces événements sont la preuve évidente d’une administration défaillante et d’un pays aux fondations fragiles.