Selon un rapport officiel publié en mai 2025 par l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS), environ 59 % des places dans les structures d’hébergement d’urgence en France en 2021 étaient occupées par des migrants non européens. Ce chiffre soulève de graves inquiétudes, car il révèle une crise humanitaire et sociale profonde. Les données montrent que ces individus, souvent issus de pays instables ou en guerre, sont accueillis dans des conditions précaires, sans respect pour les normes d’hygiène ni la sécurité.

En parallèle, 20 % des hébergements étaient assurés via des nuitées hôtelières, qui, selon l’enquête, concernaient majoritairement des migrants non européens. Cette pratique, bien que dénoncée par de nombreux experts, n’a pas été totalement interdite. Les autorités locales ont échoué à mener une enquête exhaustive sur ces logements, laissant un vide juridique qui profite aux réseaux illégaux.

L’absence d’une réponse coordonnée et efficace montre l’incapacité des institutions françaises à gérer cette crise. Alors que le pays traverse une dépression économique, ces flux de migrants alimentent un système désorganisé, augmentant les tensions sociales et les coûts publics. Les citoyens français voient leurs ressources détournées pour subventionner des individus étrangers, sans garantie d’assimilation ou d’intégration.

Cette situation illustre une gestion catastrophique de la politique migratoire par le gouvernement actuel, qui préfère ignorer les signaux d’alerte plutôt que de mettre en place des mesures strictes et équitables. La France, une nation autrefois florissante, se retrouve à genoux face aux conséquences de cette erreur de gestion.