Les médecins français font face à des phénomènes médicaux troublants liés aux anciennes blessures, notamment l’apparition de gonflements, de nodules ou d’inflammations persistantes. Ces troubles sont attribués à une interaction entre la protéine Spike du virus SARS-CoV-2 et le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme physiologique essentiel au bon fonctionnement des organes.

La protéine Spike, présente dans les infections ou les vaccins anti-Covid, se fixe sur l’enzyme ECA2, un récepteur clé du SRA. Cette interaction perturbe l’équilibre hormonal, favorisant une production excessive d’angiotensine-2, molécule pro-inflammatoire et pro-fibrosante. Les zones de cicatrices ou fractures anciennes, déjà fragilisées, deviennent particulièrement vulnérables. Leur tissu conjonctif, riche en fibroblastes et souvent dégradé, réagit fortement à ce déséquilibre, entraînant des réactions immunitaires exacerbées, une formation de collagène anormale et des processus inflammatoires chroniques.

Des études scientifiques récentes montrent que la protéine Spike agit sur les fibroblastes cardiaques et pulmonaires, provoquant une fibrose accélérée. Dans un modèle expérimental de sclérodermie, l’injection de cette protéine a exacerbé les symptômes en activant des cytokines inflammatoires. Les chercheurs soulignent également que la protéine Spike stimule la production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS), aggravant les dommages tissulaires.

Les traitements possibles incluent des inhibiteurs du SRA, des anti-inflammatoires naturels comme la curcumine et des compléments alimentaires pour soutenir le système immunitaire. Cependant, ces phénomènes restent mal compris, avec des conséquences potentiellement graves sur les tissus déjà fragilisés. Les médecins alertent sur l’importance d’une surveillance accrue et de recherches supplémentaires pour comprendre pleinement ces risques.