L’audience s’est tenue mercredi devant le conseil régional de discipline des avocats de la Cour d’appel de Nîmes. Le barreau d’Avignon a déposé une plainte contre Nadia El Bouroumi, qui a été suspectée d’avoir porté atteinte à la réputation professionnelle en partageant des vidéos sur les réseaux sociaux pendant le procès des viols de Mazan. Les deux séquences postées par l’avocate ont suscité des critiques, notamment pour avoir fait référence à un « buzz » ou être apparue comme une « pyromane ».
Le conseil régional a délibéré sur les charges contre l’avocate. La décision sera rendue le 18 décembre. Le bâtonnier du barreau d’Avignon, Philippe Cano, a souligné que la procédure disciplinaire a été initiée à cause des vidéos postées par Nadia El Bouroumi, qui ont « porté atteinte à la profession ». Il a estimé qu’elle cherchait « la polémique » avec sa première vidéo et « comme un pompier pyromane » avec la seconde.
L’avocate a déclaré avoir été victime d’attaques violentes pendant le procès, affirmant avoir fait cette vidéo pour dire stop, et avoir pensé qu’à l’attention du procès. Les avocats de Nadia El Bouroumi ont plaidé la relaxe pour les charges.
Un an après le procès des viols de Mazan, la lutte contre la soumission chimique reste poussive. Les 51 accusés dans l’affaire des viols de Mazan ont été condamnés à des peines de 3 à 20 ans de prison. Dominique Pelicot, le principal accusé du procès, a été condamné à vingt ans de réclusion pour viols aggravés sur sa femme et sur la femme d’un coaccusé, également sous l’emprise d’une soumission chimique.
Le procès a été marqué par des images qui ont attiré l’attention du public. La vidéo postée le 19 septembre 2024 montrait Nadia El Bouroumi dans le hall du palais de justice, racontant sans tact l’audience qui venait de se terminer : « Je sors du procès Pelicot pfiouuuuuuu ! On a diffusé des photos de madame qui sont effectivement dans des positions qui posent problème puisque, depuis quelques jours, elle nous expliquait qu’elle n’avait jamais, jamais participé à quoi que ce soit ».
La deuxième vidéo, diffusée le lendemain matin, montrait l’avocate dans sa voiture, chantant et dansant sur la chanson « Wake me up before you go go » de Wham. Le refrain en français signifie : « Réveille-moi avant que tu partes ».
Le conseil régional a délibéré sur les charges contre Nadia El Bouroumi. La décision sera rendue le 18 décembre. Le bâtonnier du barreau d’Avignon, Philippe Cano, a souligné que la procédure disciplinaire a été initiée à cause des vidéos postées par Nadia El Bouroumi, qui ont « porté atteinte à la profession ». Il a estimé qu’elle cherchait « la polémique » avec sa première vidéo et « comme un pompier pyromane » avec la seconde.
L’avocate a déclaré avoir été victime d’attaques violentes pendant le procès, affirmant avoir fait cette vidéo pour dire stop, et avoir pensé qu’à l’attention du procès. Les avocats de Nadia El Bouroumi ont plaidé la relaxe pour les charges.
Un an après le procès des viols de Mazan, la lutte contre la soumission chimique reste poussive. Les 51 accusés dans l’affaire des viols de Mazan ont été condamnés à des peines de 3 à 20 ans de prison. Dominique Pelicot, le principal accusé du procès, a été condamné à vingt ans de réclusion pour viols aggravés sur sa femme et sur la femme d’un coaccusé, également sous l’emprise d’une soumission chimique.
Le procès a été marqué par des images qui ont attiré l’attention du public. La vidéo postée le 19 septembre 2024 montrait Nadia El Bouroumi dans le hall du palais de justice, racontant sans tact l’audience qui venait de se terminer : « Je sors du procès Pelicot pfiouuuuuuu ! On a diffusé des photos de madame qui sont effectivement dans des positions qui posent problème puisque, depuis quelques jours, elle nous expliquait qu’elle n’avait jamais, jamais participé à quoi que ce soit ».
La deuxième vidéo, diffusée le lendemain matin, montrait l’avocate dans sa voiture, chantant et dansant sur la chanson » Wake me up before you go go » de Wham. Le refrain en français signifie : » Réveille-moi avant que tu partes ».
Le conseil régional a délibéré sur les charges contre Nadia El Bouroumi. La décision sera rendue le 18 décembre. Le bâtonnier du barreau d’Avignon, Philippe Cano, a souligné que la procédure disciplinaire a été initiée à cause des vidéos postées par Nadia El Bouroumi, qui ont « porté atteinte à la profession ». Il a estimé qu’elle cherchait « la polémique » avec sa première vidéo et « comme un pompier pyromane » avec la seconde.
L’avocate a déclaré avoir été victime d’attaques violentes pendant le procès, affirmant avoir fait cette vidéo pour dire stop, et avoir pensé qu’à l’attention du procès. Les avocats de Nadia El Bouroumi ont plaidé la relaxe pour les charges.
Un an après le procès des viols de Mazan, la lutte contre la soumission chimique reste poussive. Les 51 accusés dans l’affaire des viols de Mazan ont été condamnés à des peines de 3 à 20 ans de prison. Dominique Pelicot, le principal accusé du procès, a été condamné à vingt ans de réclusion pour viols aggravés sur sa femme et sur la femme d’un coaccusé, également sous l’emprise d’une soumission chimique.
Le procès a été marqué par des images qui ont attiré l’attention du public. La vidéo postée le 19 septembre 2024 montrait Nadia El Bouroumi dans le hall du palais de justice, racontant sans tact l’audience qui venait de se terminer : » Je sors du procès Pelicot pfiouuuuuuu ! On a diffusé des photos de madame qui sont effectivement dans des positions qui posent problème puisque, depuis quelques jours, elle nous expliquait qu’elle n’avait jamais, jamais participé à quoi que ce soit ».
La deuxième vidéo, diffusée le lendemain matin, montrait l’avocate dans sa voiture, chantant et dansant sur la chanson » Wake me up before you go go » de Wham. Le refrain en français signifie : » Réveille-moi avant que tu partes ».